Achat-revente : quelle réglementation à savoir ?
L’achat-revente est une activité commerciale qui consiste à acheter des biens pour les revendre.
Cette activité peut être exercée par un particulier ou par une entreprise. Pour exercer l’activité d’achat-revente, il faut être inscrit au registre du commerce et des sociétés (RCS) ou au répertoire des métiers (RM).
L’inscription au RCS ou au RM permet de bénéficier de la protection du statut de commerçant et d’exercer en toute légalité l’activité d’achat-revente.
Quelle est la réglementation pour les entreprises qui effectuent des achats et des reventes ?
L’achat et la revente d’articles usagés est une activité courante, qui permet à de nombreuses personnes de réaliser des économies. Acheter et revendre des articles usagés peut être considéré comme un acte de commerce, car il s’agit d’une activité commerciale.
L’acquisition puis la revente d’un bien usagé est soumise au respect de certaines règles et formalités. Ces règles sont définies dans le Code Civil (Articles 1582 à 1588). Ainsi, l’activité de commerce d’achat et de revente doit se faire en conformité avec les dispositions du code civil.
Le Code Civil impose aux commerçants un certain nombre d’obligations pour mener à bien leur activité : Avoir un statut juridique approprié : le commerçant doit obligatoirement avoir une structure juridique adaptée à son activité (entreprise individuelle, SARL, SA…). Souscrire une assurance RC pro pour couvrir les risques liés à son activité commerciale (contrat responsabilité civile professionnelle).
Protéger sa clientèle par des obligations comptables et fiscales imposées par la loi : tenir un livre journal donnant la date exacte des encaissements/décaissements par numéro de facture ou par catégorie d’opération. Toutefois, cette obligation ne concerne que les entreprises dont l’activité principale consiste en l’exercice du commerce (artisans, professions libérale…), pas les auto-entrepreneurs.
Quelles sont les responsabilités des entreprises qui achètent et revendent des produits ?
L’achat et la revente de produits font partie intégrante du commerce.
Les entreprises qui achètent et revendent des produits sont appelées « commerçants ».
Leurs activités commerciales consistent à acheter des produits pour les vendre, généralement au détail, en vue d’en tirer un bénéfice (bénéfice). Il y a plusieurs types de commerçants : le commerçant individuel, le commerçant personne morale et le commerçant personne physique. Un commerçant individuel est une personne physique ou morale qui exerce une activité commerciale pour son propre compte.
Il achète des biens qu’il revend ensuite à des particuliers ou à d’autres entreprises. Un commerçant peut être inscrit au registre du commerce ou opter pour l’auto-entrepreneuriat. En tant que personne physique, il doit souscrire une assurance personnelle obligatoire dans le cadre de ses activités commerciales.
Lorsque cette assurance n’est pas souscrite, il encourt une amende allant jusqu’à 5 000 € par exercice fiscal en cas de manquement aux obligations lui incombant en matière d’assurance obligatoire.
La responsabilité civile professionnelle est également obligatoire depuis septembre 2015. Une entreprise peut effectuer tout type d’activité commerciale : elle peut être spécialisée dans un secteur précis (par exemple la vente de voitures), développer un réseau de distribution (par exemple vendeur indépendant) ou encore distribuer des produits par Internet (par exemple e-commerce). Parler plus bas sur ce sujet ?
Quels sont les droits et les devoirs des entreprises qui achètent et revendent des produits ?
Les entreprises qui achètent et revendent des produits font partie de la chaîne d’approvisionnement. Cela signifie qu’elles sont impliquées dans tout le processus de production, depuis l’achat du produit jusqu’à sa vente sur le marché.
Celles-ci sont appelées « acheteurs-revendeurs ». Ces derniers peuvent être considérés comme les intermédiaires de la chaîne d’approvisionnement, car ils établissent un lien direct entre les producteurs et les clients finaux.
La loi définit certaines obligations que doivent respecter les acheteurs-revendeurs en ce qui concerne le respect des normes de qualité du produit vendu. Notamment en termes de protection des consommateurs ou encore de garanties obligatoires à donner aux clients.
Il est important pour un acheteur-revendeur de s’assurer que son fournisseur respecte cette obligation. Ainsi, si vous faites l’acquisition d’un bien ne répondant pas aux normes applicables à ce type d’opération (exemple : absence d’assurances). Vous pouvez être amené à prendre en charge financièrement la réparation ou le remplacement du bien concerné par votre client final.
Lorsque vous achetez un objet chez un revendeur, il doit vous informer sur son origine (produit importé ou fabriqué localement). Afin que vous puissiez décider si cela correspond à votre stratégie commerciale au sein de votre propre entreprise.
Quels sont les mécanismes et les réglementations à prendre en compte lors de l’achat et de la revente de produits par une entreprise ?
L’achat et la revente de produits sont des opérations qui se font à l’intérieur d’une entreprise.
Lorsque vous achetez un produit, vous devez prendre en compte différents éléments.
Il est primordial de savoir que les prix des biens varient d’un pays à l’autre. Cela implique qu’il faut connaître les lois commerciales du pays où l’entreprise souhaite vendre ses biens. Par exemple, il faut connaître le droit du travail, la fiscalité locale.
S’assurer également que le produit acheté n’est pas une contrefaçon est d’une haute importance. Pour cela, vous pouvez demander à voir un certificat d’authenticité auprès du fabricant du produit. Ensuite, il faut prêter attention aux conditions de vente et aux garanties offertes par le vendeur pour tout ce qui touche au service après-vente. Ainsi qu’à la maintenance du bien acheté (durée des garanties, remboursement en cas d’interruption).
De plus, il est souhaitable que le fournisseur dispose d’un magasin physique sur place pour répondre aux questions des clients concernant la qualité du produit et son utilisation correcte. Enfin, il peut être utile de se renseigner sur les délais de livraison avant l’achat.
Lorsque vous revendez un bien acquis chez un autre fournisseur ou fabriquant, il est recommandable de faire jouer la concurrence (en comparant les tarifs proposés par différents fournisseurs).
Comment une entreprise peut-elle être protégée lorsqu’elle achète et revend des produits ?
Lorsque vous achetez un produit, il est important de savoir à qui vous le revendez. En effet, si ce produit est destiné à être revendu en l’état, il faut pouvoir garantir l’acheteur que le produit ne présente aucun défaut. Cela peut paraître évident. Mais une fois que l’on achète un produit et que l’on souhaite le revendre sans avoir subi des dommages ou des défauts (comme les rayures). On doit pouvoir garantir la qualité du produit pour se protéger contre tout recours du client.
Les entreprises proposent différentes solutions pour écarter les risques de litige. Elles peuvent solliciter une assurance afin d’être couvertes en cas de problème survenu pendant la durée de vie du bien.
L’assurance peut permettre au client d’obtenir réparation par rapport au vice caché ou non-conformité du bien mis en vente. Si le vendeur n’est pas couvert par une telle assurance, il doit apporter la preuve qu’il s’agissait d’une erreur non intentionnelle. Ou d’une faute non intentionnelle commise par un tiers dont il n’est pas responsable.
Il doit notamment démontrer que ce tiers n’a pas eu accès au bien et ne s’est pas trouvé impliqué dans son acquisition ou sa fabrication. Et qu’il y aurait eu une cause extérieure à sa volonté susceptible de rendre impossible son utilisation normale (telle qu’une catastrophe naturelle).
Il faut donc faire attention aux biens que l’on achète et qui ont été fabriqués par des tiers : on peut être très surpris !
Quels types de contrats sont nécessaires pour les entreprises qui achètent et revendent des produits ?
Il existe de nombreux types de contrats qui peuvent être utilisés dans le cadre du commerce des biens et services. Il est important de connaître les différents types de contrats afin d’éviter les conflits entre les parties et pour être en mesure de résoudre tout problème éventuel.
Le contrat d’achat/vente Il s’agit du type de contrat le plus courant, car il permet aux parties (acheteur et vendeur) d’obtenir l’accord mutuel avant la vente ou l’achat.
Lorsqu’un acheteur achète un bien, cela implique qu’il accepte les conditions stipulées dans le contrat d’achat/vente. Ce type de contrat peut être utilisé par une personne physique ou morale, mais ne contient pas beaucoup de clauses juridiques spécifiques.
Si un acheteur n’est pas satisfait des termes du contrat, il a généralement la possibilité soit :
- De faire appel à un tribunal
- Soit de renoncer au bien en question et à la transaction, ce qui constitue une décision finale pour les parties impliquées.
Dans certains cas, lorsque vous effectuez un paiement en espèces pour acquérir un produit ou un service, vous pouvez conclure une vente ferme sans signer un document écrit officiel. Ce type de transaction est souple et relativement simple à mettre en œuvre ;
Cependant, cela requiert une grande confiance entre les parties concernées.
Achat-revente, un marché en pleine expansion. L’achat-revente est une activité qui consiste à acheter des produits pour les revendre plus chers que le prix d’achat. Cette activité s’exerce dans le cadre du commerce de détail, de la vente par correspondance ou à distance et du dépôt-vente.